Jour 2 - Une vie qui s'organise

Après Aberthole, voila qu'une nouvelle, passablement hystérique par ailleurs, venait de faire son apparition. L'hôtel ne devait pas correspondre à ses attentes pour expliquer un tel hurlement. Bon, pour sa défense, il fallait quand même reconnaître que la situation n'avait rien de bien ordinaire mais ce n'était pas une raison pour perdre ainsi son calme.

En tout cas, toutes ses arrivées étaient quand même bien étranges. Il se passait quoi pour justifier une telle simultanéité ? Une agence de voyage avait-elle décidé de proposer des voyages interplanétaires ou alors Danger était complètement détraquée pour avoir programmé un truc qui expédierait ici quiconque se présentait à Graymalkin ? À moins qu'il ne s'agisse d'un piège tendu par les Csatars pour les retrouver.

Il était hors de question de se laissait faire encore une fois ! Malo n'était pas disposé à laisser n'importe qui en vouloir à son "liquide décimal"...

Assez tendu par la situation, le jeune Breton devait s'efforcer au calme pour ne pas tout envoyer promener. Heureusement que Clara était là. Devant la jeune fille, Malo voulait faire bonne figure et montrer qu'il n'était pas homme à s'inquiéter d'un rien.

Puisque l'heure était aux présentations, le garçon sacrifia, lui-aussi, au rituel, d'une façon un peu distraite.

"Malo.", annonça-t-il tout simplement. "Tout ce qu'on sait c'est qu'on est en plein ciel, sur un rocher qui vole, au dessus du sol d'une planète appelé Khane. Dit comme ça, ça parait dingue... Mais dit autrement, ça reste toujours aussi dingue..."

Haussant les épaules, il poursuivit, un poil fataliste.

"Et pour le moment, on attend que Danger termine de mettre au point un truc pour qu'on puisse trouver de quoi rentrer. Mais, si j'en crois ce qu'il se passe d'habitude, on va devoir faire un truc chelou pour ça et risquer notre peau au moins dix fois... Enfin, ça doit être ça, la vraie vie de super-héros : un boulot à plein temps, pas de congés payés et pas de soucis de retraite, vu qu'on ne vit pas assez vieux pour en bénéficier..."

"Hein ? Un envahisseur ?"

Aberthole, un nom qu'elle n'avait jamais entendu, et qu'elle aurait donc moins de difficultés à retenir. Lui semblait plutôt sympathique, ce qui faisait donc au moins un mâle fréquentable dans cette histoire de fous, ou plutôt un mâle adulte fréquentable, car le petit se montra lui aussi plutôt civil. Peut-être avait-elle eu la malchance de se retrouver dans la même pièce que les deux purges lors de son arrivée ? Miranda n'avait jamais été douée en maths, et ne pouvait donc savoir à quel point cela était probable.

"Non, on m'a souhaité la bienvenue, et on m'a envoyé ici. Je me suis retrouvée dans une pièce avec trois mutants dont un type qui trouvait l'histoire super drôle et une nana qui m'a dit que m'énerver servait à rien parce que, elle, elle était beaucoup plus malheureuse. Bref." Il n'était pas dit que sa vie tournerait autour des deux insupportables, surtout qu'elle avait désormais la preuve que certains des locaux avaient du savoir-vivre.

Elle se releva et rejoignit le groupe des présents, où apparemment la conversation portait autour des moyens de rentrer. Au moins n'était-elle pas la seule à se préoccuper de ce problème.

"Danger, c'est celle qui m'a envoyé ici" dit-elle platement et en tâchant de garder enfoui son ressentiment. "Et je voulais juste rejoindre une école pour mutants, pas devenir une super-héroïne. Même si je suppose que pour les regrets, c'est un peu tard. Vous êtes arrivés il y'a longtemps sur...Khân ? Parce que l'Institut était bien défoncé quand j'y suis passée."

Peut-être était-elle dans une situation de "jour dedans, année dehors", qui mettait en application le peu de choses qu'elle savait sur la théorie de la relativité ? Dans ce cas, il fallait rentrer d'autant plus rapidement, elle ne tenait pas à ce que sa mère soit octogénaire à leur prochaine rencontre.

"Et on m'a pas bien expliqué la première fois, du coup je redemande : c'est quoi qui vous a forcés à venir ici ? Ou qui ? Les grands trous dans les jardins faisaient super réalistes, pas décor de ciné."

Miranda commençait à accepter son sort, venait donc la phase deux : le comprendre. Une fois cette étape terminée, elle pourrait sérieusement songer à le combattre.

Clara avait l'impression de tournait en rond sur cette discussion, elle avait l'impression que les même questions revenaient sans cesse. La fatigue n'aidant pas vraiment à garder son calme, bien qu'elle s'imaginait qu'ils devaient complétement être perdus. Elle réagit aux paroles de Miranda en haussant les épaules.

"On est quel jour sur terre?"

Elle interrogea Aberthole et Miranda du regard. Ça l'intéressé de savoir depuis combien de temps, ils avait été exilés de force. Elle finit quand même par leur précisé. "Graymalkin a été attaqué par des extraterrestres sans qu'on en sache plus, ils nous ont séparé en nous envoyant par petit groupe sur cinq planètes différentes. Danger est venue nous chercher est nous à regrouper ici il y a quelques heures. "

Elle fit une petit pause avant de rajouter d'une voix encore chargé d'émotion en repensant à ce qu'elle avait vécut avec son groupe.

" Malo, Mbarou, Pedro et moi étions sur Vakthos."

Les larmes aux yeux, la jeune fille reprit une rapide inspiration pour reprendre le contrôle de ses émotions. La réflexion sur l'état du jardin la faisait culpabiliser. A part se cacher sous une table, elle n'avait pas aider à défendre Graymalkin. Après Le Old school, elle espérait fortement que leur miséreuse forteresse ne serait attaqué par les habitant de Khane. Elle en avait marre de se battre. Haussant les épaules, elle répondit sur un ton neutre à Aberthole

"Moi, je suis allée rejoindre les X-men à Chicago pour pouvoir voyager et aider à combattre les Père fondateurs. Faut croire qu'on a pas tous les même motivations..."

Clara eut un petit rire nerveux. Les élèves de la première heure n'étaient plus vraiment nombreux, beaucoup étaient partis pour retrouver une vie normale. Dans un sens, elle avait pu réaliser ses rêves. mais elle aurait préférer que ça ne se passe pas comme ça.

Elle s'éloigna un instant pour aller chercher la boite de conserve avec la bouillie extraterrestre marron indéfinissable que lui avait fait manger Ryoichi. elle la tendit vers les deux nouveaux en leur demandant.

" La téléportation a dû être fatigante. Vous avait peut-être faim? On a de la compote de marron si vous voulait? On l'a ouvert il y a pas longtemps, mais j'avais pas très faim. ce serait dommage de gâcher?"

Personnellement les téléportation avait tendance à lui retourner l'estomac, mais ce fut sans aucune mesquinerie, qu'elle le leur proposait. Elle se disait que leur mentir sur ce qu'il y avait dans la boite les aiderait à avaler ce truc?

La brève description de l'état dans lequel se trouvait Graymalkin arracha une petite grimace douloureuse à Malo alors que le gamin se remémorait la violence du combat qui les avait opposés aux Csatars et la façon dont les jeunes X-men s'étaient fait neutraliser en un rien de temps.

"Tu m'étonnes qu'c'est tout défoncé.", grommela le Breton alors que son regard s'obscurcissait sous l'effet de la rancœur. "Putain, on s'est pris une sacré branlée même si on les a ralentis un peu. Ils étaient vachement balaises mais on aura notre revanche, ça j'le jure…"

Serrant les poings d'un air rageur, Breizh donnait l'impression de vouloir rapidement en découdre pour venger son honneur bafoué. À l'évocation de leur récent périple sur Vakthos et à l'émotion manifestée par Clara à ce souvenir, le jeune téléporteur se rapprocha un peu plus de sa camarade et lui posa une main, qu'il voulait protectrice, au niveau de l'omoplate. La différence de taille entre les deux enfants ne jouait pas en la faveur du garçon et ce dernier voulait éviter d'avoir l'air trop ridicule en plaçant sa main sur l'épaule de la jeune fille.

"Ben, on sait pas trop ce qu'il s'est passé exactement à la fin de l'attaque.", avoua-t-il. "Alors qu'on était tous regroupés, plus ou moins amochés en plus, dans Cérébro, y'a eu un grand éclair blanc et je me souviens plus de rien. Juste que je me suis réveillé à moitié à poil au sommet d'un gratte-ciel sur une autre planète. Et Danger est venue nous chercher pour nous amener ici…

Légère perplexe, Malo eut un petit instant de silence.

"On sait pas pourquoi on s'est fait attaquer, ni pourquoi. Les Csatars n'ont pas laissé d'explications…", reprit-il. "J'suppose qu'ils avaient un objectif et qu'c'était pas juste un jeu de leur part… Enfin, tout ce qui compte c'est qu'on a une chance de rentrer chez nous. Et si ces putains d'extra-terrestres reviennent nous chercher des noises, on leur pétera la gueule cette fois !"

Farouche, le Breton semblait plus déterminé que jamais. Heureusement, Clara intervint une nouvelle fois pour détourner l'attention. Voir la boite de bouillie marron rappela au gamin qu'il n'avait rien mangé depuis presque une heure et que son estomac n'allait pas tarder à se manifester s'il lui imposait une diète trop longue.

"Allez-y, servez-vous.", invita-t-il, bon prince, les deux "invités". "Mais ne bâfrez pas tout et laissez m'en un peu…"

Occupés à intégrer les nouveaux arrivants, les mutants présents dans la pièce furent coupés par l'arrivée inopportune d'une sorte de vautour, qui se posa au bord de la fenêtre de la pièce. L'animal était assez épais, et observait la salle en poussant quelques piaillements sordides de temps en temps.

Spoiler:

La seconde suivante, un second compère vint se placer à côté du premier, occupant tout juste le peu de place restante. Derrière eux, les présents pouvaient remarquer que des dizaines d'oiseaux passaient en volant, hors de la forteresse. Un léger vacarme provenant de l'extérieur de la structure fut soudainement plus clair, lorsqu'ils se concentrèrent. Au nombre de cris poussés, les créatures étaient plusieurs dizaines.

Le premier volatile arrivé poussa une sorte de croassement aigu à l'encontre de Clara. Ses petits yeux noirs semblaient la fixer. Etait-ce hostile ?

[hrp : ce n'est pas un mode jeu. Néanmoins, chaque action impliquant les oiseaux doit être colorée pour résolution. Le tour est relancé.]

[Entrepôt ]

Débarquant de l'entrepôt, Ryoichi ouvrit la bouche: "Hey! On des oi..." Il la referma aussi sec en constatant que tout le monde était déjà au courant. Comme dans l'entrepôt, deux oiseaux squattaient le rebord de la fenêtre jetant un œil aux occupants: "Ah!" fit il, exprimant un constat. Le deuxième plus silencieux fût de constater que visiblement les quatre oiseaux n'étaient pas seuls. Ils avaient amené toute la volière avec eux.

Pas sur qu'il y avait assez de conserve pour tout le monde, mais on pouvait toujours commencer par les deux de l'entrepôt. Il passa devant le groupe qui regardait les oiseaux, constatant qu'en plus de Mi-machin il y avait un type dont il ne se souvenait plus: "Ma parole, y'a pas que les oiseaux qui font une invasion..." fit il en leur jetant un coup d’œil.
Il se dirigeât vers la cuisine, pour prendre le reste de compote interstellaire. Visiblement Balo s'était goinfré, mais il en restait bien assez. Il se dirigeât vers les placards, ouvrant celui où ils avaient initialement trouvé la compote: "J'en ai aussi deux comme sa dans l'entrepôt. ils ont pas l'air méchant pour l'instant." Prenant une nouvelle conserve, qu'il ouvrirait plus tard, il revint sur ses pas et sorti" de la pièce.

[ Entrepôt]

(je poste.. on relance un nouveaux tour si j'ai bien compris)

Clara n'eut jamais de réponse pour sa nourriture, du moins à part une sorte de croissement, les nouveaux la snobérent complétement.
Elle se retourna en direction du bruit et sursauta en apercevant une sorte d'oiseau sur la fenètre qui les fixait. Un deuxiéme vint se placer prés de lui. trop concentrer sur les deux promier, Elle ne remarqua pas tout de suite la horde de volatiles qui se trouvait derriére eux. La jeune fille ne pu s'empécher de dire.

"Ce qui sont moches ces piafs..."

Ryochi fini par débarquer en annonçant qu'il y en avait deux autres dans l'entrepot, mais elle ne réagit pas vraiment, l'asiatique était assez grand pour se débrouiller tout seul, il le leur avait assez fait comprendre. Non ce qui la déranger le plus c'était la façondont le fixer le premier oiseau et son propre ventre qui se mit a gargouiller en le voyant.

Aprés tout, elle n'avait pas manger depuis un moment et l'idée d'un poulet roti (ou quoique soit ces trucs) ne lui était pas déplaisante. Se penchant vers Malo, elle murmura.

" Pourquoi il me fixe comme ça lui? Tu crois que ça se mange!"

Aprés tout elle serait sûre de ce qu'elle aurait dans son assiette avec ces trucs. Elle regarda sa boite de conserve ouverte et se dit que c'était peut-être ce qui l'intéressait. Un petit sourire pervers s'afficha sur son visage tandis qu'elle tentait de se rapprocher de l'animal, en lui tendant sa boite de conserve tout en parlant du voix suraigue pour l'amadouer.

"Petitpetitpetit... Viens voir le bon miamiam!"

Avec un peut de chance elle pourrait l'assommer avec la boite.

Clara s'avançait prudemment en remuant sa boite et en parlant comme à un chien. Malheureusement, les volatiles sauvages ne fonctionnaient pas tout à fait comme les animaux domestiques. Rapidement, les deux vautours se mirent à coasser de plus en plus hargneusement à l'encontre de la mutante audacieuse, et ils finirent même par ouvrir leurs ailes en se gênant l'un l'autre pour effrayer la jeune fille.

Mais finalement, alors qu'elle prenait son courage à une main (l'autre tenant la boite de conserve) pour continuer d'avancer, les deux oiseaux prirent la fuite par la fenêtre de la cuisine. La tentative de contact était un échec total, et il ne restait plus rien des deux visiteurs dans la pièce, si ce n'était une petit flaque entre le blanc et le jaune, qui dégoulinait du bord de la fenêtre.

Dehors, l'activité des créatures locales ne cessait guère.

Ainsi, le château se voyait envahir par ces espèces de volatiles bien laids qui tenaient davantage du vautour que du pinson. Alors que Malo avait l'attention attirée par les deux qui étaient posés sur la fenêtre, Ryoichi faisait un bref passage par la cuisine pour ôter le pain de la bouche d'un malheureux Breton en pleine croissance et subtiliser, sans même demander son avis au dit- Breton, la pitance que l'adolescent était en train de manger.

En tout cas, le garçon ne pouvait qu'approuver le commentaire de Clara sur l'apparence de ces nouveaux intrus. Ils avaient vraiment de sales gueules, "terriennement" parlant. Bon, il n'était pas certain que le physique des jeunes mutants remportât un concours de beauté dans l'univers des drôles d'oiseaux mais, comme personne n'était là pour demander l'avis à ces derniers, la question ne se posait même pas…

Finalement, Clara posait la seule question pertinente : savoir si, plumé et rôti, le machin qu'ils avaient sous les yeux pouvait être comestible. À cette idée, Malo sentit l'eau lui monter à la bouche. Si la bouillie extra-terrestre en boîte pouvait suffire pour atténuer une "petite" faim, le Breton n'était pas contre l'idée d'un repas plus consistant et il était même prêt à sacrifier une partie du repas que Ryoichi n'avait pas dérobée pour attirer un des oiseaux.

"Je suis sûr que Danger doit avoir un livre de recettes adaptée pour ça…", répondit-il à l'interrogation de sa camarade, tout en suivant avec attention la tentative d'approche.

Mais, les snobant et dédaignant la nourriture qu'on leur offrait, les volatiles se mirent à protester avant de prendre leur envol, laissant sur la fenêtre un souvenir prouvant bien l'intérêt qu'éveillait en eux les X-men.

Interloqué, Malo contempla la fuite des gros piafs puis reporta son regard vers la boîte de conserve ouverte que tenait Clara.

"Merde, y'a quoi dans cette boîte ?", s'interrogea-t-il, perplexe. "Si même ces ostrogoths n'en veulent pas…"

Et dire que lui en avait ingurgité une quantité non négligeable… De toute façon, Malo avait un estomac en béton armé et ne risquait vraiment rien.

Se précipitant à la fenêtre, il fit attention à ne pas mettre les mains dans le "souvenir" et porta son regard vers l'extérieur, essayant d'estimer le nombre de ces volatiles qui les assiégeaient.

Compter le nombre d'oiseaux était difficile, d'autant que tous ne se trouvaient pas dans le champs de vision du Breton. Néanmoins, il estima à la louche qu'ils devaient approcher de la demie centaine de ce côté de la forteresse. De là à doubler pour avoir un vrai total, il n'y avait qu'un pas, mais cela doublait également la marge d'erreur.

Après le départ de Jane, Mbarou c'était recouché pour essayer de se reposer. La succube lui avait préparé à manger, mais elle devait attendre que ça chauffe un peu. Alors autant profiter de faire un petit somme.

Mais à peine endormie voilà qu'un drôle de bruit la réveilla. La plupart des élèves avaient tourné la tête en direction de la fenêtre et quand elle fit de même, elle remarqua les silhouettes d'oiseaux bizarres. Elle se frotta les yeux et vu que ça ressemblait à une sorte de vautour. Clara tenta une approche avec de la bouffe, se qui aurait fort bien fonctionné sur la géante, mais absolument pas sur les piafs. Ils essayèrent impressionner la jeune mutante en se gonflant et en criant, mais finir par s'envoler. Malo se précipita à la fenêtre et expliqua qu'ils devaient en avoir plus d'une centaine.

Mbarou se demandait d'où ils pouvaient venir. Danger avait dit qu'ils étaient loin de tout, alors où ils vivaient sur l'île, où ils voyageaient depuis un moment. A moins que la femme robot ne se soit trompé, se qui semblait encore plus étrange. S'ils venaient de loin ils devaient être affamé, mais peu être qu'ils n'étaient pas habitué à la présence humaine, d'où l'agression envers Clara.

La dragonne se leva gentiment et approcha de la fenêtre. "J'aime quand mon poulet vient tout seul jusqu'à mon assiette. Mais qu'il parte au dernier moment, c'est joué avec mes sentiment."

Elle attrapa un peu de nourriture et le plaça au bord de la fenêtre avec une coupelle remplie d'eau.

"Ecartez-vous de la fenêtre, on va voir si ça les intéresse la nourriture si on se trouve loin."

Pour le moment, aucun oiseau ne semblait s'approcher.