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 Janet Jameson

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Janet Jameson Empty
MessageSujet: Janet Jameson   Janet Jameson EmptyMer 30 Juin - 19:58

Janet Jameson Barrefiche
Fiche numéro XW-015

Nom : Jameson

Prénom : Janet Margaret

Nom de code : Claw

Date de naissance : 25/11/2032

Âge : 13 ans

Lieu de naissance : Agadir (Maroc)

Nationalité(s) : Américaine/Egyptienne

Taille : 1m43

Poids : 38 kgs

Langues parlées : Anglais et arabe

Pouvoir : Morphing felin

Savoirs particuliers :
  • Etiquette
  • Informatique
  • Geographie

Sport(s) pratiqué(s) :
  • Natation
  • Escalade
Janet Jameson Janetclaw

Description physique :

Petite brune aux longs cheveux, Janet donne au premier regard l'impression d'une poupée bien plus jeune que ce qu'elle est. Cet effet est particulièrement recherché car la jeune fille s'est vite rendue compte qu'elle poussait avec la lenteur d'un chêne alors que ses connaissances tenaient plutôt de la mauvaise herbe. Plutôt que de passer pour une attardée physique à l'apparence franchement banale, elle misa sur le côté figurine de porcelaine. Pour maintenir cela, Janet porte des vêtements bien coupés mais assez longs et enveloppants, pour camoufler ce corps pas franchement prépubère mais pas pubère non plus.

Son visage poupin au nez un peu trop gros est à peine éclairé par des yeux d'un bleu peu éclatant. Les cheveux, longs, ont tendance à boucler facilement. Assez athlétique grâce à la pratique de la natation et de l'escalade, elle reste peu habituée aux efforts violents ou inhabituels. Ses mains lisses n'ont jamais connu le labeur physique. Que ce soit des chaussures au chapeau, elle porte un vrai attirail de guerre façon imagerie d'épinal : Souliers cirés, chapeau de paille à large bord, rubans de couleur dans les cheveux... Un peu comme un chat quoi : elle attire les caresses sur la tête alors qu'elle rêve d'arracher ces mains à leurs articulations.

Sa forme féline est variable mais toujours "nue". Comprenez par là que les vêtements qu'elle porte au moment de sa transformation réapparaissent quand elle redevient humaine. Par contre, si ils sont solides, ils n'apportent pas d'avantages de genre robustesse à la forme féline. De plus, des habits trop flottants comme une cape, un chapeau ou quelque chose qui ne serait pas vraiment en contact avec elle restent en tas sur le sol lors de la transformation. Autre détail important, les chats n'ont pas de poches, laissant ce genre d'accessoire aux marsupiaux. Donc, elle ne peut pas garder les objets en mains à moins de vouloir les tenir entre ses crocs (avec les risques de perforation et lacérations qui sont encourus par tout objet traditionnellement laissé seul en présence d'un félin joueur faussement endormi).

Caractère :

Janet est un pur produit de la haute société des affaires au niveau des moyens financiers et des cercles fréquentés. Elle en a hérité un égo assez élevé. Pas gros, bien entendu. Un cheesburger addict en phase terminal est gros. L'égo de Janet a atteint de telles proportions qu'il génère son propre champ magnétique qui a piégé deux petits satellites nommés orgueil et vanité. Rigoureusement sûre qu'elle arrive de toute façon à ses fins que ce soit par ses propres moyens ou en payant, elle aime la réussite et hait l'échec, surtout s'il est public.

Authentique peste qui aime regarder de haut les personnes qu'elle juge méprisables, Janet est persuadée de l'existence d'une hiérarchie sociale où elle occupe une bonne place. Là où elle devient surprenante, c'est qu'elle déteste cet état de fait et souhaiterai bousculer cette échelle à coup de bulldozer pour faire tomber quelques chimpanzés bourrés d'argent la tête la première dans le fumier, ses parents compris. Elle ne donnerait pas un centime à quelqu'un pour l'aider mais le pousserait à coups de pieds aux fesses pour l'amener à faire quelque chose de sa vie.

Janet se mêle mal aux jeunes gens de sa classe sociale et de sa classe tout court à cause de son mépris affiché de la notion d'argent-roi. Elle porte toujours des tenues extrêmement sobres et gentillettes, lui donnant un peu une apparence de poupée fragile. Sa vie de nomade façon jet-set fait qu'elle n'a pas d'amis et ne sait d'ailleurs pas comment en faire. Dans la vie de tous les jours, miss Jameson est incapable de faire des actions normales comme la cuisine, la vaisselle ou autre activité pour lesquelles des personnes sont normalement payées pour faire dans les hôtels où elle vit. Si elle s'y lançait, elle s'escrimerait sûrement jusqu'à obtenir un résultat suffisamment bon pour être montré. Elle détesterait afficher publiquement ses efforts par contre.

Dotée d'un point de vue aussi tendre qu'un vieillard de 95 balais sur le monde qui l'entoure, son cynisme peut surprendre chez une adolescente aussi jeune. Mais si elle peut améliorer une situation, obtenir des remerciements voir même seulement flatter son égo proprement démesuré, Janet est capable de violer la loi allègrement. Pour elle, ce ne sont que de vagues conseils écrits par des vieillards riches pour tenir des jeunes pauvres sous leur coupe. Sa capacité d'écoute aux conseils assortis de menaces, aux ordres arbitraires et à l'autorité parentale frôlant le degré de pitié du grand requin blanc Janet est capable de dire "oui" avec le sourire de petite fille gentille tout en aiguisant mentalement la dague à planter dans le dos du sombre abruti qui lui dit quoi faire.

Jouant le rôle de petite fille modèle en société, sa vraie personnalité est plutôt acerbe et caustique. Fidèle à sa vision pessimiste du monde elle meurt d'envie de l'améliorer et ne voit les obstacles que comme des encouragements à continuer. Elle a de l'argent et une mutation et se demande si, quelque part, ça ne veut pas dire qu'elle a un énorme destin. Ceci plus son égo, sa vanité et son orgueil en fait une personne d'une franchise effrayante qui n'est pas prête à se remettre en cause. A noter qu'elle se sent difficilement à l'aise quelque part et une fois qu'elle a trouvé un lieu qu'elle apprécie elle s'y accroche avec la hargne d'une palourde.

Historique :

La famille de Janet est un peu particulière. Le père est une espèce de VRP de luxe pour une société américaine qui s'est spécialisée dans la lutte contre la désertification et autres désagréments climatiques. Il vit donc surtout en Afrique, procurant aux divers pays les bijoux technologiques mis au point pour lutter contre l'avancée du désert. Sa femme l'y a suivi et ils vivent dans des suites d'hôtels trois et quatre étoiles depuis. Ils ont eu deux garçons avant la naissance de Janet, au Maroc à ce moment. La petite fille a donc grandi dans un environnement riche mais pas très stable, les déménagements surgissant souvent sans prévenir entre les différents pays bordant le sahara. Pour la mère, Sarah Jameson, c'était normal car les enfants adorent leur papa. Au bout du sixième déménagement, Janet commençait à apprendre ce qu'était la haine.

Bien que les hôtels et les pays changeaient sans cesse, le reste était d'une stabilité effarante. Pièges à touristes, gens fortunés tout autour, écoles pour les étrangers aisés et autres îlots d'américanité dans l'étrangéité du décor. Janet appris à nager dans la piscine géante fournie gracieusement par dame Nature. Vu qu'il "fallait faire quelque chose de ses journées", elle opta pour l'escalade. Elle n'aimait pas ça mais ses parents détestaient. Les voir se ronger les ongles jusqu'aux sangs quand elle laissait volontairement glisser son pied à huit mètres de hauteur restait un moment très divertissant. Les différents déménagements ne lui donnaient pas envie d'avoir des relations stables avec des enfants de son âge et ses parents lui donnèrent un ordinateur pour qu'elle "communique davantage". A dix ans, elle égratigna si sévèrement plusieurs des clients louches de son père sur son blog qu'elle dût potasser l'art de l'incognito numérique. Il fallait dire qu'une multiplication de guignols en uniforme officiels (le genre fourni avec une poinçonneuse de deux kilos) était une motivation évidente. Mais pas une raison de s'arrêter. On s'amuse comme on peut.

Janet s'ennuyait ferme dans cette vie de luxe très artificielle. De temps en temps, pour les vacances, ils retournaient "au pays". Las, les Etats-Unis d'Amérique avaient pour elle un goût de pays étranger. Moins de palaces et de touristes, mais étranger quand même. C'était un mal-être permanent. N'avoir aucun pays de base, aucune maison de naissance à proprement parler et un foyer consistant en une suite luxueuse dont la moitié du personnel avait la clé la déprimait doucement. D'une apparence discrète, très peu de personnes l'approchaient et elle vécu relativement normalement jusqu'à une soirée de juillet en Algérie. Un de ses grands frères avait tenu à l'emmener à une soirée où des jeunes gens s'étaient réunis. Bien que tous mineurs, ils s'étaient arrangés pour avoir tout l'attirail du sérial fêteur moderne à savoir alcool fort, neige qui ne fond pas, cigarettes à l'herbe de Provence et médicaments aléatoires. Janet ne fut pas choquée, vu les reliquats qu'elle trouvait après les réunions des "amis de papa", elle avait autant d'espoirs pour l'ascension spirituelle de cette jeunesse dorée qu'a un employé de boucherie qui regarde un taureau constitué d'une tonne de steak hachés macdonaldisables.

Toutes ces soirées dans ces suites luxueuses ont des pièces discrètes pour les couples plus ou moins consentant. Le tout était d'en trouver une libre pour barricader l'entrée. Sa présence du genre "petite fée pas intéressante" lui suffit pour s'isoler au calme et mettre à jour son blog en attendant que le niveau d'alcoolémie moyen frôle celui d'un candidat médaille de platine pour une greffe du foie. Malheureusement pour elle, un jeune ayant eu la mauvaise idée de mélanger des médicaments déjà pas très stables avec un whisky plus très frais et une herbe bien trop fraiche eut envie de s'amuser avec Janet. Piégée dans la pièce située au vingtième étage, la panique engendrée par la situation fut un déclencheur violent d'une aptitude à se faire toute petite qu'elle ne soupçonnait même pas. Le jeune finit par défoncer la porte, aidé par des compagnons de beuverie qui avaient atteint le stade du "trop happy pour se poser des questions sur ma life". Ils trouvèrent un ordinateur portable éteint, une pièce pas mal chamboulée par des visiteurs précédents et... rien d'autre. Pas assez secoué pour laisser tomber de suite, le jeune aviné dont un test sanguin aurait mérité une pleine page dans le guiness des records fouilla sommairement la pièce. Rien sous le lit, ni dans les armoires et encore moins sur le balcon. sa capacité de concentration étant proche de celle du poisson rouge, il s'énerva rapidement contre ses collègues et la dispute se continua dans le couloir. Sortant de derrière un pot de fleur, un chat progressa à petits pas sur la moquette.

Passer de la bipédie à une démarche nécessitant la coordination de membres avec des articulations inversées était déstabilisant. Voir un visage moustachu dans le miroir était traumatisant. Après une courte panique (Je vais faire comment pour utiliser mon ordinateur?) et un bref questionnement existentiel (ma mère n'aurait quand même pas fauté avec le chat des voisins... si?) sans oublier l'instant de pure horreur (C'est quoi qui me gratte dans le dos? Non... quand même pas...) Janet finit par se rendre compte de quelque chose de troublant. La petite fille qui essayait de paraître modèle était fade et sans charmes. La version féline avait de la classe à revendre. Le retour à la forme humaine revint brutalement et miss Jameson décida qu'il était plus que temps que sa présence n'honore plus cette fête. Tenant l'ordinateur sous le bras, elle fila jusqu'à la sortie comme un joueur de football américain. Personne ne lui prêta attention mais elle fut tout de même fière d'elle quand elle claqua la porte derrière elle.

Pendant que son frère se faisait sévèrement gronder après qu'il fut amené par le personnel de sécurité de l'hôtel, Janet faisait des essais. Le fait que la petite fête ait été dénoncée d'une petite voix innocente au standard ne l'intéressait pas, comme toutes les questions auxquelles elle avait déjà les réponses. Redevenir un chat n'était pas aisé et en fouinant sur l'encyclopédiweb, elle tomba sur des éléments très intéressants. Cela parlait de mutants, vivant il y a un bout de temps et qui revenaient en force. Il y en avait des bons et des méchants. N'ayant pas envie de choisir un camp qui déciderait pour elle, Janet usa et abusa de son don pour faire une chose qu'elle adorait : s'évader.

Accro à la géographie, Janet admirait quantité de photos de lieux inconnus et retenait des tonnes d'informations sur des pays lointains. Ne voyant jamais grand chose hors de la côté dorée d'Afrique, elle eut soudain accès à un monde de rambardes, de toits, de ruelles et autres endroits ou la Janet bipède ne pouvait pas ne serait-ce que rêver d'accéder. Ce fut une année proprement exaltante pour elle et ses parents furent rassurés de la voir plus détendue que la corde de violon qui partageait leur suite jusqu'à présent. Il fallait dire qu'elle avait bien changé : sa démarche d'abord. Pas qu'elle ait changé du tout au tout mais elle se déplaçait à présent en faisant aussi peu de bruit que possible. Ce n'était pas voulu mais un instinct profond la poussait à ce genre de chose. En parlant d'instinct, ses habitudes alimentaires furent un peu chamboulées et Janet devint une habituée du restaurant japonais qui fut ravi d'avoir une cliente accro aux orgies de sushis.

A part faire attention à ne pas trop utiliser des mots qui commencent par M (le A fait bailler, le M miauler... Hélas...) Janet s'en sortait pas trop mal et se voyait bien continuer comme ça. Oui mais voila, papounet voulait "retourner dans le pays" pour les vacances. Et c'était le Delaware ce pays. Les Pères Fondateurs... Elle ne savait pas ce que c'était vraiment mais ce nom lui donnait envie d'enfoncer son soulier ciré dans leur fondement. Ce n'était pas qu'elle les haïssait mais avec un nom pareil ça ressemblait à des personnes qui voulaient décider pour les autres. Bref, le prototype même de personnes que les deux versions de Janet détestaient. Ils venaient donc de se faire deux ennemis acharnés sans même le savoir...

Nombre de points initiaux : 4 points (utilisation pendant un an à un rythme régulier.)


Dernière édition par Janet Jameson le Lun 5 Juil - 20:21, édité 2 fois
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