Karine Forth

Fiche numéro XW-029 Nom : Forth Prénom : Karine Nom de code : Nécropole Date de naissance : 04/01/2025 Âge : 20 ans Lieu de naissance : New York Nationalité(s) : Citoyenne américaine Taille : 1m68 Poids : 53 kgs Langues parlées : Anglais, serbe. Pouvoir : Karine exerce un contrôle sur l'énergie vitale, d'origine biochimique, qui anime tous les êtres vivants. Dans son environnement immédiat, elle peut en detecter la présence, la localiser, en identifier la nature (animale, humaine, végétale...) et sera capable au fur et à mesure que ses talents s'aiguiseront de reconnaitre les subtiles différences qui font la "signature" énergétique d'un individu en particulier. Karine est capable, par contact physique puis plus tard à portée de vue, d'absorber cette énergie au sein de son organisme et d'en user à sa guise, ce qui lui permet d'augmenter ponctuellement, comme une décharge, ses capacités physiques (force, vitesse, resistance, sens...) ou mentales (mémoire, vitesse de pensée...). Elle peut aussi la diffuser plus lentement, pour aider son organisme à se soigner plus vite, mais dans la limite de ses moyens naturels (pas de régénération). Elle est aussi capable de faire profiter un autre être vivant de ses capacités, par contact, en diffusant et dirigeant l'energie dans son organisme. Dans l'avenir, elle pourra projeter cette énergie hors d'elle afin d'en user de manière offensive directement contre ses ennemis. Chaque utilisation de son pouvoir coûte à Nécropole une partie de ses réserves, plus ou moins importantes selon les besoins, un peu comme des munitions ou un système de charges. De plus, elle ne peut retenir indéfiniment en elle une grande quantité de force vitale, laquelle se disperse en quelques heures et amène son niveau d'énergie à un seuil tolérable, certes plus important qu'un humain normal, mais guère suffisant pour un usage intensif de son don. Un dernier détail. Ce don agit comme une drogue, et Karine ressent un manque très violent si elle ne restaure pas régulièrement son stock, le temps qu'elle peut passer sans absorber d'énergie vitale dépendant de sa maitrise de son don. Seule signe visible : Ses yeux s'illuminent graduellement d'une teinte verte selon la quantité d'énergie emmagasinée, et sa peau refroidit visiblement lorsqu'elle absorbe de la vie. Savoirs particuliers : Chimie Biologie Psychologie Sport(s) pratiqué(s) : Tracking

Description physique :

Karine est de taille moyenne, assez chétive et maigre, des formes discrètes. Sa peau est très pâle, tranchant avec le noir de ses yeux et de ses cheveux, longs et très légèrement ondulés. Son attitude nonchalente, bien qu'elle dissimule une attention et une concentration bien réelle, donne à ses mouvements une sorte de lenteur, de léthargie. Son visage ovale, un peu osseux, n'est pas dépourvu de beauté, mais affiche sans cesse une certaine lassitude et reste généralement froid. S'habillant toujours de manière simple et fonctionnelle, dans des couleurs ternes, elle porte des vêtements simples et près du corps, et des chaussures montantes solides comme des rangers, noires. Elle revêt aussi par tous les temps un long coupe-vent noir, fait d'un tissu léger, descendant jusqu'à ses chevilles. Sa voix, comme elle, est sans passion, un peu alanguie, avec des accents rauques. Elle parait toujours très fragile et semble s'en ficher, comme de son apparence maladive et anorexique.

Caractère :

Karine est une jeune femme très introvertie, sans qu'il n'y ait rien de timide dans son caractère. Le difficile retour à la réalité après qu'on l'ait manipulée l'a conduite à vivre repliée sur elle-même, et elle n'accorde pas grande importance à grand chose. Détachée et nonchalante, elle laisse à chacun le droit de se conduire comme il le souhaite et n'éprouve que peu d'empathie envers les autres. En revanche, elle tient à ce qu'on lui laisse la même liberté, et son traumatisme la pousse à réagir farouchement à toute coercition. L'esprit vif, lucide, elle ne se laisse jamais aller à se réfugier dans ses rèves et est très fataliste, comptant sur son intelligence plus que sur ses émotions de toutes manières plutôt vagues et changeantes. Très peu investie dans ce qui l'entoure et dans sa vie quotidienne, c'est sa colère qui la durcit et la pousse à agir, une colère froide toute faite de logique. A la recherche de sa place dans le monde et aux prises avec son questionnement intérieur, elle se montre très loyale et claire dans ses choix, et respecte beaucoup ceux qui comme elle assume jusqu'au bout leurs engagements, pas comme ces têtes brûlées sur qui on ne peut jamais compter, régis par leurs hormones. Elle éprouve aussi des sentiments mitigés envers celui qui l'a enlevée et manipulée, mais à qui elle doit tout de même des années heureuses, une éducation de qualité et son acceptation de sa mutanité. Aussi est-ce sans doute le seul sujet où vous la sentirez évasive, gênée, voire honteuse.


Historique :

Le quatre janvier 2024 naissait dans une clinique privée de New York Karine Forth, fille de Calvin Forth, ambassadeur de carrièrre et d'Emmeline Forth, mère au foyer. Petite fille choyée dans un milieu aisé, la vie s'annonçait dorée pour notre héroïne. Et elle débuta comme telle.

A vrai dire, voilà une enfance si dorée qu'il est difficile d'en dire quoi que ce soit. Contentons-nous donc de brosser un rapide tableau. Une mère aimante et avisée, un père exigeant et juste, une petite fille intelligente et vive, curieuse aussi, qui tira grand profit de son instruction dans des écoles privées. La petite fille voulait connaitre tous les animaux et toutes les plantes et aussi tous le reste. Sauf peut-être la cuisine, pas assez amusant. Ce fut alors qu'elle admettait, vers ses treize ans, que son projet était un peu trop ambitieux et qu'elle allait se limiter aux animaux, que sa nature de mutante se révéla et que l'histoire se corsa pour notre plus grande joie.

Avec une fille amoureuse des animaux, Calvin Forth avait bien entendu acheter un adorable petit chaton à son amour de fille, laquelle bien éduquée s'en était occupée convenablement et sans rechigner devant les tâches les plus ingrates de sa fonction de maitresse d'une boule de poils nommée Casquette. Les deux avaient grandies et partageaient une relation faite de pâtée, de ronronnements et de menus jeux. Un matin que Karine, presque adolescente maintenant, calinait discrètement la bestiole, absorbée par l'écran de la télévision du salon, elle sentit sa main se rafraichir brusquement. Le temps de baisser les yeux sur sa peau devenue bleue pâle comme sous l'effet d'une hypothermie, Casquette se reveilla brusquement, tenta d'échapper à l'étreinte de la maitresse et tomba du canapé en miaulant faiblement avant de, mi-marchant, mi-rampant, s'éloigner du mieux de ses moyens. Karine paniquée appela maman et se mit en devoir de ramasser son pauvre chat qui tentait de plus plus faiblement de fuir. Le temps que maman arrive et dise à sa progégniture de vite filer dans la voiture pour aller chez un vétérinaire, la pauvre bête était inconsciente.

Le vétérinaire ne put rien expliquer, mais put soigner l'animal à coups de médicaments et de repos forcé. Néanmmoins, Karine avait oublié d'être bête, et lorsque, des mois plus tard, Casquette se comportait avec elle comme avec une étrangère dangereuse, elle ne trouva rien à lui reprocher.

S'en suivit une période où la jeune fille devint introvertie, stressée, et passionnément intéressée par les reportages traitant du "nouveau" problème mutant. Elle s'éloigna de ses amis, et ses parents sentaient une certaine reserve, voire une prudence, dans leurs rapports avec elle. Ils n'eurent toutefois pas le temps de s'en occuper sérieusement et mirent le phénomène sur le compte de cette bizarre maladie qu'avait eu le chat. Il y a avait plus important à organiser : Calvin était mandaté pour une mission diplomatique, en Europe, dans les Balkans, région floue où le nationalisme faisait à nouveau parler de lui. La zone étant pacifiée depuis longtemps, la sécurité garantie par l'ambassade et la mission de longue durée, il décida d'emmener sa famille avec lui, sa femme se chargeant de continuer l'éducation de Karine grâce à un programme de cours par correspondance. Ils furent bientôt partis, et s'installèrent dans un luxueux hôtel de Slovénie, pays le plus riche de cette région,, laquelle connaissait des problêmes d'ordre relationnel avec la Bosnie, un état frontalier, dont ils avaient plus ou moins annexée un territoire riche en ressources en vertu d'une ancienne frontière tracée injustement selon eux au moment de l'éclatement de la Yougoslavie. Leurs voisin plus pauvres n'étaient pas particulièrement ravis et avaient réclamé l'arbitrage de la communauté internationale. Avant que ce résumé ne devienne particulièrement fastidieux, un évènement fâcheux survint, rien de moins que l'enlèvement de la petite famille lors d'un trajet touristique par des hommes cagoulés se réclamant d'un quelconque groupuscule nationaliste bosniaque, ou peut-être même serbe allez savoir, c'est un chaos pas possible là-bas.

Pour prouver sa valeur sans doute, la Slovénie tenta de rêgler le problème elle-même par une petite intervention armée. Là, ça devient encore plus compliqué. Car ce groupuscule avait agi au nom du peuple bosniaque, et ainsi volé la vedette à une autre organisation du même acabit, laquelle après des négociations rapides, avaient réclamé la gestion des otages et dépéché sur place grâce à un agent infiltré (le même d'ailleurs qui renseigna les autorités slovènes) quelques hommes à eux. Cela donna en milieu d'après-midi une jolie fusillade entre trois groupes distinct. Passons sur les détails de ce genre d'opérations baclée, toujours est-il qu'à la fin, les forces de l'ordre avaient remis la main sur les Forth, père et mère, mais pas sur la fille. Après entretien courtois avec les survivants de chaque groupe, il s'avéra que personne n'avait la moindre idée de ce qu'elle était devenue.

Grâce à notre omniscience, nous, nous pouvons le savoir. Durant la panique de l'attaque, on avait tenté de déplacer les otages, dont l'un s'était effondré en voulant empoigner l'adolescente, laquelle s'était empressée de briser ses liens comme autant de fragiles cordelettes et d'envoyer un uppercut à un autre cagoulé dont la cagoule doit encore être incrusté dans le plafond assez bas. Elle voulut réitérer son exploit sur un autre tête-de-laine noire, mais ne réussit cette fois à la suprise de tous (à part ses parents sans doute, lesquels avaient les yeux bandés et ne comprenaient rien aux bruits alentours) qu'à énerver le terroriste qui lui rendit la politesse avec un résultat plus probant. Sonnée, Karine le vit lever à nouveau le bras avant qu'un homme portant un insigne bizarre en plus de sa cagoule lui intime d'arrêter et de le laisser se charger de ça. Il injecta à notre heroïne une quelconque drogue, la jeta par dessus son épaule et passa à travers le mur comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Son comparse eut moins de chance, puisqu'il tomba à la sortie sur des Slovènes un rien nerveux qui l'abbatirent sans sommation. Voilà donc Karine enlevée par un bosniaque nationaliste passe-muraille sans témoins de l'évènement.

A son réveil, Karine était assise dans le fauteuil d'un agréable petit salon, situé au coeur d'un chalet cossu, lui-même perdu dans une forêt froide et deserte. Elle se sentait...étrangement sereine, détachée, un rien déboussolée. Ses souvenirs se faisaient flous et difficiles à visualiser; tandis que sa volonté de se rappeler de quoique ce soit était...glissante. Un homme élégant, la cinquantaine, en qui nous reconnaissons notre terroriste passe-murailles, entra et lui expliqua qu'il lui fallait beaucoup de reposer, qu'elle saurait tout en temps voulu. Il lui injecta quelque chose, sans lui faire mal, et sur le coup, bien qu'elle ressentit une légère appréhension, elle trouva cela naturel. La suite de ses journées reste confuse, faites de longs monologues de la voix basse et chaude de l'homme, de sommeil, et de fugitives visions étranges.

Au bout d'un moment, elle se réveilla tout a fait et se souvint de tout : elle s'appelait Svetlana Osim, parlait le serbe et ne connaissait aucun mot d'anglais, était une mutante, et son souhait le plus cher était d'aider son père Novak grâce à ses pouvoirs de mutante à réaliser ses projets, à savoir, rétablir la domination du peuple serbe sur ses anciens territoires et ramener à la vie sa mère Suzanna et son petit frère Jovan, lesquels étaient maintenus en stase dans le laboratoire du sous-sol suite à leurs blessures durant l'attaque slovène sur une zone frontalière riche en gisements, agression durant laquelle elle-même avait été blessée à la tête ce qui expliquait ses souvenirs flous. Pour la première partie, Novak Osim croyait aux vertus du conditionnement, qu'il avait grâce à ses compétences en biochimie et en psychologie élevé au rang d'art. Pour la seconde, il attendait beaucoup d'un traitement chimique et de l'utilisation intensive des dons de Karine..; euh pardon Svetlana, lesquels nécessitait de grandes quantités d'énergie vitale fournie gracieusement par les cobayes de ses expériences sur le conditionnement mental. Svetlana adorait son père, qui lui parlait toujours avec amour, la chérissait, lui apprenait à contrôler ses pouvoirs et à accepter sa nature de mutante, un don des cieux. Et elle haïssait tout comme lui les nombreux ennemis de son peuple, et tous les traitres à la cause. Elle vouait une admiration sans bornes à la dévotion que portait Novak à sa famille presque disparue, et passait des heures en recueillement dans ce qu'il surnommait la "Nécropole", un nom doux-amer, à la fois tombe et lieu de tristesse, et cité des morts, symbole de la renaissance de l'après vie. Lors de leurs journées de détente, après qu'elle l'ait assisté dans ses recherches ou aidé à ranimer la flamme dans le corps de sa famille bien-aimée, il l'emmenait avec un minimum de matériel dans le bois. Là encore c'était une leçon, car ce doux et grand homme ne cessait jamais d'enseigner. La survie en milieu naturel, apprenait à Svetlana à observer, réfléchir en elle-même, être économe de ses mouvements, et à se concentrer. Ta seule ressource est ton esprit, disait-il ouvent. Affute-le et tiens-le toujours éveillé.

Au cours des années, Svetlana devint une assistante brillante, et permit nombre d'avancées dans la construction d'un processus de réanimation adapté. Elle était en paix, avec un but dans la vie. Une existence qui prit fin brutalement à l'aide de GI's héliportés jusqu'à leur chalet. L'attaque fut brève et menée de main de maitre, elle-même maitrisait tandis qu'elle hurlait de colère et de desespoir, son père arreté et recouvert d'un sac noir sur la tête, et le laboratoire mis à sac. Elle vit à travers la petite vitre d'une porte verrouillée, un homme grave en blouse blanche expliquer à deux inconnus quelque chose qu'elle ne comprenait pas, en anglais, et ce couple pleurer à chaude larmes en la regardant. Elle fit un long voyage en avion vers les Etats-Unis, un pays haïssable d'après son cher père disparu, peut-être tué... Son coeur faiblissait à cette idée.

Il fallut de longs mois de travail acharné de la part des meilleurs spécialiste pour briser le conditionnement magistral dont elle avait été la victime, et dont elle portera toujours des séquelles. Malgré sa mémoire retrouvée, ses sensations et ses souvenirs se contredisent souvent, et malgré tous ses efforts, elle ne parvient pas à renouer les liens avec ses parents. Après une disparition si longue (elle avait alors 19 ans), c'est toujours difficile, et pour elle qui avait été Svetlana pendant tout ce temps... Quelques semaines après son retour à la maison, elle fugua et fut retrouvée en larmes à une centaine de kilomètres. A sa deuxième fugue, elle fut retrouvée plus loin encore. A sa troisième, la lettre qu'elle laissa à ses parents les convainquirent qu'elle devait se séparer de son ancienne vie un certain temps, retrouver ses repères et ses valeurs, et qu'elle ne comptait pas les abandonner pour autant. La mort dans l'âme, ils ne prévinrent pas la police.

Karine erra de longs mois, travaillant par là, volant par ici, rencontrant des gens, et réfléchissant beaucoup. Elle s'était aperçue que son organisme, après des années d'usage intensif de son don encore peu développé, ne tolérait plus qu'on le prive de cette source d'énergie. Des animaux en firent les frais, des humains aussi parfois lorsqu'ils le méritaient. Elle se fit plus dure, et une fois sure de ce qu'elle était et de ce qu'elle voulait, choisit comme nom de code Nécropole, clin d'oeil à celui à qui elle doit la relative maitrise de son don. Devant l'hostilité envers les mutants, qu'elle assimilait en elle-même aux absurdes rivalités des Balkans auxquelles elle avait été mêlée, elle attendait de trouver un moyen de lutter efficacement.

Nombre de points initiaux :

Bonjour à toi et bienvenue sur X-Héritage !

Nous avons bien pris connaissance de ta présentation et allons étudier ta demande de pouvoir le plus rapidement possible.

En attendant, il faudrait juste que tu modifies un petit détail : tu mentionnes deux fois l'Institut Xavier dans ton historique. Actuellement, les X-men vivent clandestinement dans un hôtel de Chicago, le Old School. L'existence de leur groupe n'est pas encore connue du monde. Durant ta phase de contact, ton personnage sera rattaché à l'histoire, donc tu n'as pas de souci à te faire de ce côté.

Si tu as des questions sur l'historique du forum, n'hésite pas. En attendant la validation de ta fiche, promène-toi sur le forum. Pas mal de choses se préparent en ce moment, ça te permettra de te mettre rapidement dans le bain.

Jolie boulette, merci de me l'avoir signalée. Je n'avais pas tout de suite saisi le côté clandestin de l'institut new generation. Mea Culpa.

Je modifies ça et je me promène.

Bonjour à toi et bienvenue !

Concernant ton pouvoir, j'aurais simplement une petite précision à te demander : comment envisages-tu la "projection offensive" d'énergie vitale ? Plutôt comme une énergie proche de celle des yeux de Cyclope, donc concussive, ou plutôt comme une arme agissant sur la santé (un peu comme le diagramme d'Aldo) ?

Un petit détail est que l'accélération de la vitesse de pensée est assez difficile à conceptualiser pour les phases de jeu ^^ mais elle peut être assimilée à une amélioration des réflexes, si ça te convient.

Ah, et enfin, le point essentiel : si Karine est née le 4 janvier 2045, elle a actuellement 21 ans ^^

L'amélioration des reflexes est une bonne idée, mais on peut aussi la négliger si l'arbre a trop de branches.

Après petite réflexion de mon côté sur le pouvoir de Cyclope, à savoir des radiations issues d'un plan d'énergie pure (brute...), je pense qu'il serait mieux de partir sur l'idée d'une énergie n'agissant que sur la santé des êtres vivants, peut-être un affaiblissement du à une sévère désorganisation de la circulation d'énergie dans l'organisme? Une sorte de décharge anti-feng shui^^?

Et je corrige ma bourde de calcul mental.

Merci de vos efforts et de votre accueil!

Après réflexion de mon côté (aussi), et en tenant compte de tes remarques, voilà une proposition d'organisation de ton diagramme.

Tu as donné beaucoup de détails et de possibilités pour ton pouvoir, ce qui est très bien. Maintenant, à moins de faire un truc sans queue ni tête, je pense que ça aura du mal à tenir sur un diagramme de taille standard. Du coup, je pensais à découper ton pouvoir en deux parties liées :

- L'augmentation du métabolisme et la projection d'énergie vitale. Ce qui inclurait les hausses de capacités physiques, le soin, et les effets sur autrui (positifs et négatifs)
- L'absorption d'énergie biochimique. Cela regrouperait le radar biologique, le stockage d'énergie, ainsi que l'absorption et ses effets sur l'organisme (ou les organismes si on parle de brins d'herbes ou d'une colonie de fourmis) visé(s), plus le besoin que tu as évoqué.

Du coup, je pense que tout ce que tu as imaginé, et peut-être même un peu plus, pourrait tenir. Par contre, le total des deux arbres sera sans doute de 100 points (40/60 ou 50/50), donc tu ne pourras pas développer de mutation secondaire.

Est-ce que cela te conviendrait ?

Cela convient tout à fait, c'est même parfait! Logique, clair, équilibré.

Et aucun problème non plus pour l'absence de mutation secondaire, avec autant d'applications à un pouvoir principal, c'est tout à fait normal et je n'imaginais pas donner à Karine une autre capacité.

Bravo pour tes efforts, je t'en suis très reconnaissant!

J'ai hâte de voir le résultat ...

Il reste un petit détail à éclaircir dans ton historique : le mutant passe-muraille et le "conditionneur" sont-ils une seule et même personne, ou bien le premier n'est-il "qu'un" mercenaire ? A la lecture, cela n'apparaît pas très clairement.

Lorsque ce sera fait, tu pourras poster l'introduction de ta mission de contact dans la section Amérique.

Bon jeu à toi !

Hé hé, je crois qu'il y a encore un souci avec ton année de naissance (on va y arriver ^^). Nous sommes actuellement le 4 février 2045, donc si tu veux que Karine ait 20 ans, elle doit être née en 2025 (2024 pour 21 ans et 2023 pour 22 ans).

Dernière chose, il te reste à choisir le nombre de points initiaux à répartir sur ton futur diagramme. Tu trouveras <ici> un tableau qui t'aidera à estimer le potentiel de départ de ton perso.

Comme indiqué par Emily, tu peux commencer à jouer. Amuse-toi bien !

Quand je pense que j'ai un Bac S... Edit pour 2025.

Le passe-muraille et le conditionneur sont une seule et même personne, je peux même te refiler sa bio si tu le souhaites^^.

Si je me fie à ce tableau, avec six ans de pratique intensive mais non acharnée de 13 à 19 ans, et une pratique négligeable le reste du temps, ça donne à Karine 10 points initiaux? J'ai bon dites?

C'est cela ! Comme ton pouvoir sera scindé en deux, tu auras 10 points pour chaque diagramme.