Jeu de rôle par forum dans un univers futuriste et alternatif des X-Men.
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| | | Une journée normale |  |
| | | Auteur | Message |
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Invité
Invité
| | Sujet: Une journée normale Dim 22 Aoû - 20:06 | |
| 6h33 et le radio réveil qui commence déjà à me taper sur les nerfs. C’était un jour de cours, un jour banal comme tant d’autres. Je savais que j’allais commencer la philosophie, dans une heure. Pourtant l’envie de sécher ce cours traversa l’esprit, pour faire une grasse matinée. Franchement pourvoir se réveiller à midi était un plaisir que tous les fainéants partageaient et j’étais un des leur. Mais je savais que mon père prenait le service quelques dizaines de minutes après que je quitte le foyer. Ainsi si ce dernier me voyait dans mon lit, je me ferais gicler et mon ordinateur portable passerait par la fenêtre.
Me levant donc de mon lit, je ne vis pas de lumière sous mon pallier de porte. Mon satané gros chien s’est encore posé sur ma porte. Si j’essayais de sortir de ma chambre, il se réveillera et surtout aboiera réveillant mes parents par la même occasion. M’habillant avec les fringues d’hier, je pris les quelques cours pour mettre dans mon sac et mon ordinateur de portable et mis sur mon dos. Poussant doucement ma porte, mon chien avait fait le boucan comme je l’avais prévu.
« Ta gueule Sam ! »
OK, c’était impoli, mais c’était sorti tout seul, comme si j’avais besoin d’exprimer à tout le monde que je m’étais levé du mauvais pied. Descendant vite fait avant que mon père quitte la chambre pour qu’il aille à la salle de bain du premier étage, j’allais dans la cuisine au rez-de-chaussée, passant par la porte d’entrée où j’avais posé mon sac. Je pris un bol et des céréales et je le mis sur la table. Allant dans mon frigo, je voulais prendre le lait. Je sentis une immense masse me pousser derrière et faire des couinements.
« Sam, tu commences à me gaver grave ! »
Me retournant je vis mon chien faisant son regard de chien battu ! Vous savez, ce regard triste où tout le monde fond. J’allais vraiment le battre un jour pour que ce regard soit vraiment justifié. Je savais que je ne pouvais résister à ce regard, venant de mon chien surtout. Dégoûté de perdre à ce jeu, je lui lançai un regard noir avant de retourner la tête dans le frigo pour trouver une satanée conserve pour chien. Après quelques secondes de recherches, je le pris et me dirigeai vers la gamelle sans regarder mon chien. Celui contant, l’exprimait avec sa queue bougeant dans tous les sens et surtout qui tapait sur n’importe quoi, ma jambe compris ! Et je savais par expérience que j’aurais un bleu avant qu’il ait marre de bouger sa queue. M’asseyant devant mon bol et mes céréales, je vis que j’avais oublié un truc.
« Merde ! »
Je me retournai. C’était le lait. J’étais tellement blasé que je faisais le regard qui tue sur mon chien. Et ce dernier regardait ma réaction. Et vous savez ce qu’il avait fait ? Bah il avait lancé un jappement de joie ! Comment voulez-vous lutter contre ça ? Franchement comment je pouvais lutter contre cette boule de poil, qui descendait sûrement de George le yéti et Willie l’orque qui pue de la gueule. Me relevant, j’allais chercher le lait et je me reposais sur la table. Blasé, j’entendis mon père descendre les escaliers. Allait-il chercher le journal du matin, aucune idée. Je mangeais tranquillement quand je sentis de la bave sur mon Jeans. Baissant mes yeux, je vis mon molosse avec mon casque dans la bouche!
« Sam ! Tu fais chier ! »
Me levant, je pris mon casque et je me dirigeais vers le torchon pour essuyer mon casque, pour enlever une grosse partie de la morve. Puis je me rassis abattu et je continuais à manger tranquillement avant sûrement d’aller au lycée à patte. Edit: J'espère que cela ne dérange pas d'avoir fait joué mon chien pnj pour cette introduction. |
| | | | Le Gardien
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| | Sujet: Re: Une journée normale Lun 23 Aoû - 14:56 | |
| [Bienvenue dans le RP. Pas de souci pour le chien PNJ dans le premier post. C'est à partir de maintenant que c'est moi qui le joue.
Tu emploies dans ton texte la narration à la première personne ("Me levant, je pris mon casque"). Tu peux poursuivre de cette manière si tu y tiens, mais comme tous les autres joueurs utilisent la troisième personne ("En se levant, il prit son casque"), ça va sembler un peu dissonant. A toi de voir mais je te conseille d'adopter la troisième personne.
Aussi, n'oublie pas de lier ta présentation de perso en signature et d'indiquer dans ton profil l'âge de son personnage pour qu'il apparaisse sous l'avatar.]
Le père de William entra dans la cuisine alors que ce dernier essuyait la bave sur le casque.
"Mon fils aujourd'hui les choses vont devoir changer."
Quand il se retourna, William vit que son père était en treillis militaire. Il ajustait un gilet par balle qui faisait partie de son ancien équipement de policier.
"Cela nous tournait dans la tête depuis un moment avec les gars. C'est bien triste mais la police et l'armée ne sont plus ce qu'elles étaient. Ma demande de réintégrer l'active a été rejétée à cause de mon âge. Qu'à cela ne tienne, moi, Jeffrey, Peter et Robby on va assurer nous-même la tranquillité du quartier."
Il semblait particulièrement remonté. Il lâcha sur la table le journal qu'il était effectivement allé chercher. On pouvait lire en gros titre "Flambée des agressions et des pillages à Chicago : voyous partout, police nulle part".
"Ces saloperies de mutos. Ca va dérouiller... aujourd'hui tu ne vas pas au lycée c'est compris ?"
Dit-il à son fils tout en prenant le fusil d'assaut qu'il s'était procuré quelques semaines auparavant. | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Une journée normale Lun 23 Aoû - 17:44 | |
| Lavant tranquillement mon casque, je vis mon père rentrer. Première réaction quand je le vis, c’était quelle mouche l’a piqué ? Il était habillé comme un paramilitaire. Sur le coup, j’avais cru que c’était une blague et que nous étions le premier avril. J’essayais de me remémorer la date… Bon! c’était peine perdu, car mon père m’avait pris au dépourvu et que je n’arrivais pas à retrouver mes esprits. Sa phrase qui disait que les choses allaient changer, bah cela me faisait flipper. Au début je croyais qu’on allait piquer Sam et j’en étais heureux pendant 1, 6789 centièmes avant d’avoir de la culpabilité; mais par la suite, en repensant à l’intonation, je m’étais dit que j’étais dans une grosse merde.
Premièrement, j’apprenais que mon père ne travaillait plus dans la police. Ceci n’était pas gênant, car ma mère avait été déjà en chômage et nous s’étions très bien ressortis de cette galère. Mais c’était la suite qui me faisait le plus peur. Deuxièmement, mon père me disait qu’il allait à la chasse des mutants, qu’il allait peut-être me chasser. Comment pouvais-je lui répondre ? Comment devais-je réagir devant cette demande, devant cette situation absurde ? Comment pourrais-je tuer un de mes semblables ? Je n’avais pas le choix, j’allais me retrancher sur deux points que mon père ne pouvait outrepasser : une de ces anciennes règles et l’opinion de ma mère. Même si mon géniteur était en colère, il n’irait pas à l’encontre de ces deux choses, enfin je l’espérais car sinon j’étais dans un pétrin sans nom. Je lançais même un regard à Sam pour dire à moi-même : « Tel maître, tel chien ! » Et le chien de mon père était emmerdeur. En même temps, mon père devait s’approcher de la cinquantaine.
« Pa ! Je n’ai pas de permis d’armes, donc je ne pourrais prendre une arme sans qu’un flic me foute en cage. En plus, tu as toujours dit que si je séchais le lycée et même pour une bonne raison, tu me balancerais de la fenêtre ainsi que mon satanée ordinateur. Alors si je t’accompagne, vas-tu me balancer avant ou après que je t’ai aidé ? »
J’avais dit cette phrase avec un sérieux peu ordinaire, comme si mes propos n’étaient pas de l’ironie et que je voulais savoir à quoi je m’engageais. En réalité, je me foutais un peu de la gueule de mon père, comme je le faisais d’habitude pour qu’il évite de croire que je suis un de ces mutants. Sachant que nous étions au rez-de-chaussée et que nous avions le même humour, je dis avant qu’il ne puisse réagir !
« Tu m’as bien certifié que tu me balancerais du premier étage ! Alors en attendant que tu te décides, moi je vais au lycée pour ne pas aller à l’hôpital. … Mieux, je vais demander l’avis de maman»
Je me levai puis marchai à la sortie de la cuisine. En passant devant mon père, je lui tapai son épaule gauche pour le réconforter quel que soit peu avant de prendre mon sac de cours et je regardais en haut de l’escalier. Ma mère n’était sûrement pas levé. Ainsi criant comme un timbré, je faisais entendre ma voix à celle qui pouvait me sauver.
« MAM ! IL Y A PAPA QUI FAIT SA CRISE DE LA CINQUANTAINE ! DOIS-JE L’ACCOMPAGNER POUR TUER LES PASSANTS, parlant à moi-même mais toujours aussi fort pour que mon père m’entende, ce qui m’en verra sûrement à l’hôpital, puis reprenant de plus belle, OU DOIS-JE ALLER AU LYCEE POUR QUE J’ARRIVE A DECROCHER MON FOUTU EXAMEN? »
J’attendais sa réponse. Edit: Je note que tu me prends pour un demeuré mental pour la narration  Je continue avec Je si j'ai toujours la possibilité |
| | | | Neith_Harlow
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| | Sujet: Re: Une journée normale Mar 24 Aoû - 13:41 | |
| Bon William, ça ne va pas du tout aller comme ça.
Tout d'abord, j'aimerais que tu t'adresses à n'importe qui ici avec un peu plus de respect. Je ne t'ai jamais pris "pour un demeuré mental" et je n'apprécie pas du tout être accusée de cette manière sous couvert d'un petit smiley. Si tu veux te faire comprendre et ne pas irriter tes interlocuteurs, il va falloir changer de ton.
Ensuite, tu remarqueras que j'ai bien pris la peine de lire ton BG, et mieux que toi puisque ton post est en flagrante contradiction avec tes propres indications. Je cite : "Son père, flic, lui annonça qu'il allait prendre la retraite et qu'il allait mâter son fils rebelle. Cela n'avait pas tardé, car même si le père et le fils avaient quarante trois ans d'écart, le père avait réussi à lui enseigner les anciennes valeurs comme le travail ou le respect. Le fils âgé d'à peine de onze ans commençait à apprendre les joies du travail et commençait à aimer cela, malgré que le début ait été long et douloureux." Je te laisse faire les calculs qui donnent comme résultat pour l'âge du père : 60 ans. Et en retraite depuis donc 6 ans.
Si tu veux pouvoir poursuivre le jeu sur X-Héritage, il va falloir que tu prouves que tu peux être cohérent, non seulement avec les indications du MJ, mais surtout avec tes propres indications. C'est tout simplement le BA-ba du jeu de rôle.
De plus tu n'as pas lié ta présentation de personnage en signature.
Je te laisse donc le soin d'éditer ton post si tu veux préserver ton personnage d'une situation pour le moins ridicule. | |
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